Le décret qui encadre les investissements étrangers dans des secteurs jugés stratégiques devrait être prochainement étendu au stockage des données numériques et à l’intelligence artificielle.
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Le constat de départ est le même : les utilisateurs seraient victimes d’un pillage de leurs données personnelles au seul profit des géant du numérique. Ensuite, les propositions diffèrent.
Des membres du groupe de travail blockchain de la Fédération des Tiers de Confiance du Numérique (FNTC) ont publié une intéressante tribune où sont mis en évidence « la banalisation de la preuve numérique de propriété et de sa gestion. »
« Les réponses écrites fournies lors d’un examen professionnel et les éventuelles annotations de l’examinateur relatives à ces réponses constituent des données à caractère personnel du candidat auxquelles il a, en principe, un droit d’accès » estime la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) dans un arrêt remarqué du 20 décembre 2017.
Cecurity.com a obtenu le label « France Cybersecurity » pour son coffre-fort numérique chiffré : CecurCrypt. Ce label a été remis lors du Forum International de la Cybersécurité (FIC) le 24 janvier 2018, à l’occasion d’une cérémonie présidée par Mounir Mahjoubi, Secrétaire d’Etat chargé du numérique. Cette nouvelle distinction renforce la position inégalée du Groupe Cecurity.com en matière de conservation et de sécurisation des données
Pour Jean Saphores, président d’honneur de la Fédération des Tiers de Confiance du numérique (FNTC), la dématérialisation des bulletins de paie devrait conduire à la mise à disposition d’un coffre-fort numérique pour chaque salarié. Il plaide également, en interpellant les pouvoirs publics, pour la création d’une carte nationale d’identité électronique (CNIE) : « Ainsi, la France numérique ne sera possible que lorsque tout citoyen sera détenteur d’une CNIE carte numérique d’identité et d’un coffre-fort numérique. »
Quels usages pour les données anonymisées ? ou Can anonymised data still be useful? : Le titre de la version anglaise de l’article publié sur LINC est sans doute plus explicite.
« Le digital et la conformité doivent se retrouver pour ouvrir de nouvelles perspectives » peut-on lire dans un article du site Culture Banque qui ajoute par ailleurs que les « conformitologues » sont souvent perçus par les forces commerciales et marketing des banques comme les responsables des retards pris en matière d’innovation.
Le décret du 28 septembre 2017 relatif à la signature électronique précise les conditions dans lesquelles cette dernière peut bénéficier de la présomption de fiabilité. Il doit s’agir d’une signature électronique qualifiée ce qui renvoie aux articles 26,28 et 29 du règlement eIDAS.