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Blockchain et Tiers de confiance

Des membres du groupe de travail blockchain de la Fédération des Tiers de Confiance du Numérique (FNTC) ont publié une intéressante tribune où sont mis en évidence « la banalisation de la preuve numérique de propriété et de sa gestion. »

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Les racines médiévales de la blockchain

La blockchain est-elle véritablement une nouvelle technologie ? Pas vraiment si l’on considère les curieuses similitudes avec des pratiques de la période médiévale. A l’époque de la conquête de l’Angleterre par les Normands, les terres ont été accordées sans écrits mais des objets tels que des épées ou des casques faisaient office de preuves.

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Blockchain et Enterprise Content Management (ECM)

La blockchain ne respecte pas actuellement de nombreuses exigences de la gestion de contenu d’entreprise (ou ECM). C’est l’opinion développée par Olivier Berkmans qui pointe notamment les questions liées à l’anonymat, la confidentialité ou encore à l’administration distribuée.

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On a enfin trouvé un article hostile à la blockchain

« Adoration purement idéologique », « prodigieux gâchis de ressources, en stockage, en bande passante et en calcul » : l’édito de Bertrand Lemaire détonne par rapport aux habituels écrits consacrés à la blockchain qui associent le plus souvent lyrisme échevelé et prédictions dithyrambiques. Raison de plus pour en prendre connaissance même si on ne partage pas forcément au départ le pessimisme de l’auteur. Il reconnaît tout de même certaines applications professionnelles peuvent être pertinentes.

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Le chiffrement expliqué à mon voisin

« Certaines notions peuvent paraître un peu complexes la première fois qu’on les aborde, mais en fait tout est très simple (…) ». Fort de cette conviction, Gérard Peliks, le très actif vice-président de Forum Atena, a publié en mai 2017 un Livre Blanc sur le chiffrement qui associe avec bonheur expertise et vulgarisation. Le titre résume bien l’ambition de la publication : « Le chiffrement expliqué à mon voisin qui n’y connait rien mais qui voudrait savoir. »

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Les freins à l’usage généralisé de la blockchain

Interrogée par RSLN, Claire Balva, CEO de Blockchain Partner, identifie les trois principaux freins à une utilisation plus large de la technologie blockchain. Sans surprise, y figurent les freins règlementaires et techniques. Plus original est l’accent qu’elle met sur les freins organisationnels : « dans des cultures d’entreprises très hiérarchisées, les technologies blockchain sont des sujets difficiles à aborder, car elles nécessitent souvent de s’ouvrir et de travailler avec tout un écosystème, y compris parfois ses concurrents. Et toutes les entreprises ne sont pas encore prêtes à franchir le pas. »

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Protection des données dans le Cloud et chiffrement par les utilisateurs

Dans une tribune publiée par le Journal du Net, Jocelyn Krystlik de la société Stormshield constate que le Cloud, malgré ses avantages, « n’inspire pas vraiment confiance aux entreprises ». Il estime que ces réticences s’expliquent en grande partie par les interrogations liées au chiffrement des données. Selon lui, « l’entreprise se doit donc de proposer une autre approche, en permettant aux utilisateurs d’appliquer eux-mêmes un chiffrement aux fichiers exploités. Elle doit fournir des outils qui permettent aux collaborateurs de définir leur propre entourage de confiance, ceux avec qui ils partageront leurs informations via le cloud. »

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La disruption blockchain n’est pas pour demain

« (…) la blockchain est promise à un bel avenir, mais sa capacité de disruption est certainement sur-vendue » estime Frédéric Charles dans une tribune publiée par ZDNet. En premier lieu, la vitesse de déploiement massif de la blockchain va se heurter à la durée de vie des architectures : « on est passé du client serveur (1980) à l’internet (2000) en vingt ans (…). L’adoption du Cloud va atteindre les 10 ans (…) ». En second lieu, au-delà des seuls aspects techniques, il faut également prendre en considération la question de l’acceptation du changement par la société : « (…) le remplacement à grande échelle (…) se fera à la vitesse admissible par la société et non à celle possible par la technologie ».