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Faut-il avoir peur de googleclick ?

Le projet d’acquisition de DoubleClick par Google, pour un montant supérieur à 3 milliards de dollars, suscite de nombreuses craintes de la part des défenseurs de la vie privée. Une fois bouclée, l’opération conduirait à une accumulation sans précédent de données à caractère personnel au sein d’un même groupe.

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Google et la provacy

Le projet d’acquisition de DoubleClick par Google suscite de nombreuses craintes de la part des défenseurs de la vie privée. Certes, Google n’est pas un monstre Orwellien dont le projet secret serait de surveiller tous les habitants de la planète. La firme de Mountain View restera pourtant durablement interpellée sur les questions de protection des données en raison d’une triple particularité : la domination dans le secteur des moteurs de recherche, l’étendue de ses nouvelles activités et la nature de son modèle économique.

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Google Health : un premier aperçu

Google – tout comme Microsoft – prévoit de développer rapidement un service en ligne pour les dossiers médicaux des particuliers. Les données de santé étant particulièrement sensibles, l’incursion de Google dans ce secteur suscitera inévitablement des interrogations voire de vives critiques. Il est déjà possible de se faire une idée du type de service que Google souhaite mettre en œuvre en découvrant la version bêta de la page d’accueil du service Google Health.

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Nationaliser Google ?

Dans le cadre d’une longue interview accordée à Libération, Gerrt Lovink, activiste néerlandais du Net affirme que « La quantité de données privées qu’une compagnie comme Google collecte sur nous est sans précédent. La situation va empirer à un point tel que la seule option qui restera sera de «nationaliser» ou de «socialiser» Google. ». Une proposition radicale qui s’appuie sur des convictions fortes : « L’anonymat n’est plus qu’une notion nostalgique » ou encore « Nous ne savons pas garder nos secrets et l’équipement numérique facilite cette tendance d’autorévélation comme jamais ».

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Google/DoubleClick : Les craintes des défenseurs de la vie privée

Marc Rotenberg, Directeur d’EPIC (Electronic Privacy Information Center), organisation américaine de défense de la vie privée, détaille dans une interview à Computerworld les raisons de son opposition au projet d’acquisition de DoubleClick par Google. L’ensemble constitué par les deux sociétés permettrait de façonner le profil le plus complet des utilisateurs d’Internet avec pratiquement aucune limite légale sur la façon dont les données pourraient être employées. Marc Rotenberg s’inquiète notamment de la discrétion de Google qui n’expose pas ce qu’elle envisage de faire avec la société absorbée. Cette interview est également l’occasion pour lui de mettre l’accent sur un volet méconnu de la protection de la vie privée à savoir, au-delà des données elles-mêmes, les systèmes d’aide à la décision qui reposent sur l’exploitation de ces données.

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Google/DoubleClick : Les craintes des associations de consommateurs

Différentes associations européennes de consommateurs au nombre desquelles figure le BEUC (Bureau Européens des Unions de Consommateurs) ont adressé une lettre à Neelie Kroes, la commissaire européenne chargée de la concurrence, pour détailler les raisons de leur hostilité au projet de fusion Google/DoubleClick. Ce courrier du 18 décembre 2007 complète une première lettre adressée le 27 juin de la même année. Classiquement pour un dossier qui concerne la concurrence, il est question d’impacts négatifs sur les prix. La question de la privacy est également très présente. Dans le régime de concurrence qui subsiste encore aujourd’hui, la protection de la vie privée est devenue un facteur de différenciation et l’ensemble du secteur des moteurs de recherche est engagé dans une véritable « course à la privacy » (privacy race). Les auteurs de la lettre développent l’argument selon lequel Google, une fois l’acquisition réalisée, ne sera plus incitée à poursuivre ses efforts en matière de protection de la vie privée car la société bénéficiera alors d’un quasi-monopole.

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Des collaborateurs de Google parlent de privacy sur YouTube

C’est une opération de communication particulièrement originale qui est menée par Google. Des collaborateurs de l’entreprise ont posté des vidéos amateurs sur YouTube pour aborder le sujet de la privacy. Dans bien des cas il s’agit d’expliquer aux utilisateurs comment mettre en œuvre les fonctionnalités protectrices des données personnelles des différents produits de Google. Le message implicite semble être le suivant : pour Google, la privacy est très importante mais il appartient à chaque utilisateur d’en définir le niveau approprié.

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Brevet pour la reconnaissance du texte dans les images

Un brevet de Google rendu public début 2008 est susceptible de soulever de nouvelles questions relatives à la protection de la vie privée face à la sophistication des applications de géolocalisation. Le brevet en question porte sur la reconnaissance automatique de textes dissimulés au sein d’une image ou d’une vidéo. Les applications envisagées concernent l’extraction des noms de rues ou d’immeubles permettant de resituer la localisation d’une image. Google précise toutefois que les brevets déposés ne donnent pas systématiquement lieu à la mise en œuvre de la technologie.

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Big Brother 2.0

Dominique Piotet, président de l’Atelier BNP Paribas à San Francisco, décrit le mécanisme par lequel les utilisateurs des réseaux communautaires sont incités à donner le maximum d’informations personnelles. L’expression « Big Brother 2.0 » qui figure dans le titre de la tribune résume le caractère à la fois innovant des réseaux sociaux et leur potentiel de risque pour la vie privée.